"Montre moi du Rose" a défrayé la chronique, plusieurs articles à ce sujets sont parus dans pas mal de magazines et sites internet :
« Quinze printemps d’affilée au service du cul non glauque, du sexe libérateur et des saillies décontractées du gland. Tel est le parcours de John B. Root dont le nom est devenu aussi célèbre que
celui de Marc Dorcel, Orson Welles et Philippe Clair. A l’heure où les vrais films porno français n’existent quasiment plus- Brigitte Lahaie, Francis Leroi, Marilyn Jess, Alban Ceray… C’était
dans un autre temps_ B Root continue vaille que vaille de tourner son film X annuel. Il fait tourner sa boutique avec son énorme site internet (www.explicite.com) bardé de centaines de milliers
de clichés olé-olé shootés glamoureusement par ses soins, tout en s’évertuant à mettre en scène avec art du cinéma coquin. Car B Root est un vrai réalisateur. Et on le sent au visionnage de «
Montre moi du rose !», porno a priori lambda (3 filles déçues par leurs compagnons partent se refaire une santé sexuelle sous le soleil de Crète) mais transcendé par tout plein de choses. En
l’occurrence de petites piques sur le machisme des mâles en rut, quelques dialogues rigolos qui semblent improvisés à la façon d’un Lelouch des années 70 et surtout, un sens inné du cadrage et du
montage où B Root érotise systématiquement ses scènes les plus cochonnes. En regardant le making-of, on sent également que le John aime tourner dans une ambiance familiale avec de jolies
nymphettes (Angell Summers, Milka Manson, Eliska Cross) qui, lorsqu’elles seront devenues épouses et mères, reverront certainement ce film avec plein de jolis souvenirs nostalgiques dans les yeux
et le cœur. » Source : Rock'n'folk février 2009
« John B. Root a depuis longtemps eu l’intelligence de comprendre que vous deviez principalement miser sur deux atouts pour élever vos scènes de comédie au-dessus du niveau d’une vulgaire
production Dorcel, Woodman ou Coppula : les dialogues et les comédien(ne)s.
Sur ces deux aspects, Montre-moi du rose s’avère particulièrement convaincant. Le film est souvent très drôle, parfois très cru (le "Tu veux un GPS ?" lancé par Milka Manson à un Phil Hollyday
ayant un peu de mal à trouver la porte de derrière pour assurer une double pénétration sur un quad (!) est assurément appelé à rester dans les an(n)ales !), parfois plus subtil aussi... »
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Source : CULTUROPOING
« Oui, dans "Montre-Moi du rose !!!", il y a tout cela et bien plus ! Par exemple, un resto, un bato, des Motos - Enfin, des Quads !), un vibro et des chevaux °°° Une superbe scène entre Milka
Manson, Sébastien Barrio et... Deux chevaux ! Hop ! Comme vous le savez peut-être, l'une des spécialités des films de John B. Root, ce sont les bo paysageS du type "Mer et Montagne". On peut dire
qu'avec "Montre-Moi du rose !!!", question paysages, nous sommes servis °°° En parti(cul)ier, dans la scène entre mes deux "hardeuz" favorites : Eliska Cross et Titof, scène de baise dans la
montagne, juste au bord de la falaise (???)... "Montre-Moi du rose !!!" se passe en Crête. Hum... Je ne vous parle pas de la scène, presk éducative, où Phil Hollyday explik à Angell Summers
comment s'occuper du sexe d'un homme...» Lire la suite Source : ME, MYSELF AND
I
… « C’est en plus d’un vrai film porno, un petit bijou de comédie. […] John est de ces réalisateurs qui assument totalement le côté scénarisé d’un film porno. J’entends par là que toute scène
sans porno ou érotisme doit avoir sa justification : ici, c’est bien le cas, car les paysages (et oui, encore ! on ne s’en lasse pas ! ), l’histoire et la comédie (il fallait être présent pour
entendre toute la salle de l’Elysée Biarritz éclater de rire ou applaudir même parfois, souvent … ) rendent chaque minute du film agréable et distillatrice d’une envie de voir la suivante, encore
et encore … tant qu’au clap de fin, on a envie d’assister à la suite de leurs aventures pour voir ce qu’il advient de tous leurs beaux projets. […] Il est réconfortant de se dire que, grâce à
John B. Root notamment, le porno français d’aujourd’hui reste capable de se regarder comme une histoire. Le tour de force de John B. Root, cette fois, c’est d’avoir réussi son pari de nous faire
plaisir et avec les scènes pornographiques, et avec les autres scènes du film. […] Après coup, il en reste un souvenir formidable, et la satisfaction d’avoir découvert une jolie perle qui
méritera de figurer dans la dvdthèque de tout ceux pour qui le X rime avec plaisir… »Lire la suite
Source : La cochonne.com